On parle de nous…

À l'heure des tractations géopolitiques avec notre voisin du sud, l'Université du Québec à Rimouski (UQAR) présente un nouvel argument pour le remplacement de son "navire amiral", le Coriolis II : la souvereineté canadienne en Arctique. Radio-Canada a rencontré M. Guillaume St-Onge, directeur de l’Institut des sciences de la mer (ISMER).

Les scientifiques de la Commission géologique du Canada de Ressources naturelles Canada à Dartmouth sont en train de cartographier les fonds marins de l’Atlantique pour connaitre ce qui se trouve sous la mer.

L’Institut des sciences de la mer (ISMER) de l’UQAR souligne son 25e anniversaire avec plusieurs activités grand public. La population est invitée à découvrir le monde de l’océanographie dans le cadre de journées portes ouvertes à la station aquicole, aux laboratoires de l’ISMER et sur le navire de recherche Coriolis II.

Unique au monde, la station de recherche en acoustique marine opérée par l’Institut des sciences de la mer (ISMER) de l’UQAR, Innovation maritime et Multi-Électronique a dépassé les attentes depuis son premier déploiement au fond du chenal Laurentien, une vallée sous-marine située dans le golfe du Saint-Laurent et orientée du nord-ouest au sud-est.

L'Institut des sciences de la mer de l'Université du Québec à Rimouski (UQAR), l'ISMER, dévoile des résultats qui dépassent ses espérances avec son projet de station de recherche en acoustique marine.

Un groupe de trois épaulards a été observé lundi par des scientifiques à bord du navire de recherche Coriolis II au large de La Tabatière, sur la Basse-Côte-Nord. Jadis commun dans le Saint-Laurent, ce cétacé n'avait pas été observé depuis 20 ans sur la Basse-Côte-Nord.

Phénomène très rare sur la Côte-Nord. Un petit groupe d’épaulards a été observé en début de semaine dans le golfe du Saint-Laurent. Cette population de cétacés, dont on connaît peu l’état et les déplacements, était jadis plus présente dans les eaux québécoises, y compris dans l’estuaire.

L’Université du Québec à Rimouski vient d’obtenir le renouvellement de sa Chaire de recherche du Canada en géologie marine. Cette prestigieuse chaire de niveau I est dirigée par Guillaume St-Onge, le directeur de l’Institut des sciences de la mer de Rimouski (ISMER-UQAR).

Des scientifiques ont navigué jusqu’à Chicoutimi sur le bateau Coriolis II de l’Institut des sciences de la mer de Rimouski, au mois de juillet dernier, pour recenser les espèces présentes ou non dans nos eaux.